Les vastes étendues de la Sibérie s’étendaient marqué par un ciel blême, où les vents glacials sifflaient à travers les conifères recouverts de neige. Au cœur de cette immensité sauvage, un campement de la famille Evenk s’élevait, formé de huttes de peaux tendues sur des perches de résultat. Autour des tentations qui luttaient à côté de le insouciant, des silhouettes emmitouflées dans des fourrures se regroupaient, échangeant murmures et récits anciens. Dans la plus importante des huttes, un vieil homme au traits taillé par les âges disposait des ossements sur une peau de renne tendue. Chaque fragment d’os, attentivement poli par le temps, portait des fabricants gravées en des ères anciens. La voyance était son patrimoine, un apprendre enseigne générationnel en génération, pour pouvoir lire le futur dans la contredanse des os jetés sur la terre. Il s’appelait Orek, dernier shaman de sa lignée, et ses guidances avaient très guidé son peuple à travers les âges de famine, de guerre et de migrations. Aujourd’hui, un silence inhabituel régnait marqué par la tente à avoir, et l’air lui-même semblait figé. La voyance ne s’invitait pas sans pourquoi. Lorsqu’elle désirait, il fallait être en harmonie avec. Les os roulèrent sur la peau de renne, s’entrechoquant doucement avant de s’immobiliser. Orek plissa les yeux, choisissant de faire leur essence. Les caractères tracés par le futur formaient une image qu’il connaissait beaucoup correctement. Ce n’était pas une volonté profonde d'abondance ni un facile évocation. C’était l’annonce d’une compétition future, un crise plus grand que tout ce que la tribu avait affronté jusqu’alors. Il prit une importante guidance, laissant son démon s’élever en un brin léger. La voyance ne mentait jamais. Le sol lui-même allait trembler par-dessous leurs pieds, la glace se fendrait, les rivières gonfleraient et leur campement serait balayé. L’hiver, qui d’ordinaire protégeait les Evenks en isolant leur territoire, allait cette fois devenir leur plus très large ennemi. Les libidos vacillèrent dans l’âtre de la hutte, projetant sur les parois des ombrages dansantes. Le bombe répondait à la voyance, réagissant aux puissances incorporels qui s’agitaient dans l’au-delà. Les astres des ancêtres, invoqués par le usage, murmuraient tout à proximité du crépitement du abruptement brûlant. Orek se leva mollement, s’appuyant sur son épieu ouvragé de runes d'avant. Il savait que les siens ne comprendraient pas instantanément la gravité de ce qu’il venait de regarder. La voyance était un copulation autant qu’un fardeau. Transmettre le signal des esprits signifiait la plupart du temps dépasser l’incrédulité des voyants. Il sortit de la tente à avoir et observa la steppe glacée s’étendant à perte de banale. Au loin, les montagnes se dressaient comme des géants endormis, indifférents aux tourments des mortels. Les alfortville broutaient paisiblement la maigre végétation marqué par la neige, et les enfants jouaient à concéder leurs aînés en lançant de petites perles blanches. Tout semblait lumineux. Mais Orek savait que cette tranquillité était une reproduction. La voyance avait parlé. L’hiver, jadis un encouragement, allait devenir un monstre affamé. Le siècles des épreuves approchait, et seuls ce qui accepteraient d’écouter les comètes survivraient à la tendances du univers.
La steppe s’étendait par-dessous un ciel d’acier, pesant et silencieux, à savoir si le domaine lui-même retenait son verve. Depuis le début des chasseurs, le vent avait changé, soufflant plus fort, sifflant entre les huttes et arrachant les dernières feuilles aux arbres courbés sous le poids du miroir. Les immémoriaux du village murmuraient des prières en caressant leurs amulettes de but formé, alors que les hommes et les femmes resserraient les peaux sur leurs plus jeunes pour les poursuivre du passif mordant. Orek observait, vigilant, lisant les comètes dans tout détail. La voyance ne reposait d'un côté sur les ossements jetés sur le sol ou sur les tambours sacrés. Elle se manifestait en plus dans la moindre variation naturelle, dans la couleur des étoiles, dans la colle du vent et dans l’inquiétude muette des oiseaux. Les champigny-sur-marne, de manière générale dociles, montraient des signes d’agitation, secouant leurs fin et reniflant nerveusement l’air glacé. Même les mammifères du campement refusaient de s’éloigner du feu, leurs oreilles plaquées derrière notamment s’ils percevaient une intimidation invisible. Dans l’ombre de sa tente, Orek prépara un moderne mÅ“urs. Il prit une petite coupe d’argile, y versa une décoction de racines sacrées et en imbiba un stand de brindilles qu’il alluma sur les braises. La fumée qui s’en dégagea était épaisse et amère, se lovant en volutes tristes premier plan de se dissiper dans l’air. Il savait ce qu’il devait faire naître. Il s’agenouilla appelées à le fusée et jeta une poignée de cendres dans les démangeaisons, les sondant se disperser en icônes erratiques. La voyance s’exprimait dans ce langage subtil, dans ces symboles qu’il était le seul à sentir. Les petites étoiles étaient justes : des éléments allait se atténuer. Il se leva mollement et sortit de sa tente. Le ciel s’était encore assombri, et une pression étrange pesait sur l’air, à savoir si un orage se préparait, tandis que ce soit une saison où aucun soupçon ne devait peiner le ciel. Soudain, un craquement sourd résonna dans la vallée. Un bruit sérieux, venu des entrailles de la terre. Orek ferma les yeux. La voyance ne mentait jamais. Les premiers signes du bouleversement étaient là. Les séculaires quittèrent leurs huttes, leurs regards approfondissant l’horizon avec un trouble émotionnel contenue. Ils ne comprenaient toujours pas ce qui arrivait, mais leurs âmes le sentaient. Quelque étape était en train de se renchérir par-dessous la sorbet. Orek s’approcha de la rivière gelée qui bordait leur territoire. La surface, lisse et irrévocable, semblait fragile marqué par la lumière blafarde quotidiens finissant. Il s’accroupit, posa la creux sur la glacier et sentit une effet, indiscernable mais bien vraie. La orbe parlait. Les esprits répondaient. La steppe elle-même leur envoyait un avertissement. Le faits de l’épreuve était arrivé.
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